Polynésie
La Polynésie française regorge de fleurs magnifiques, et notamment l’île de Maupiti dans l’archipel des îles sous le vent où nous avons eu la chance de nous rendre. Les polynésiennes mettent souvent à leur oreille l’une de ces fleurs qui les rendent si jolies !
Ces fleurs peuvent être très odorantes à l’instar des fleurs de tiaré ou de frangipanier ou bien très colorées comme le sont les fleurs d’hibiscus.
Ces fleurs peuvent être très odorantes à l’instar des fleurs de tiaré ou de frangipanier ou bien très colorées comme le sont les fleurs d’hibiscus.
La fleur de tiaré est l’emblème de Tahiti. Il s’agit d’une corolle à 6-8 pétales blancs. Elle est souvent utilisée dans la préparation du monoï, une préparation à base d’huile de noix de coco qui sert à hydrater la peau et les cheveux. Elle est également beaucoup utilisée à Tahiti pour confectionner des colliers de fleurs pour souhaiter la bienvenue aux nouveaux arrivants.
Originaire d’Amérique, la fleur de frangipanier est elle plus grande, avec 5 pétales blancs nuancés de jaune et de rose. Tous les jardins de Polynésie, du plus modeste à ceux des grands hôtels, ont un frangipanier qui embaume tout l’espace. C’est un réel plaisir des sens !
La fleur d’hibiscus peut être de toutes les couleurs : rouge, jaune, blanche, orange, violette, rose, etc… Elle est très souvent représentée sur les pareu, ces rectangles de tissu imprimé orné de motifs locaux que les tahitiennes mettent pendant la journée (et que nous mettons souvent sur la plage). Le pareu tahitien traditionnel est rouge et blanc mais on trouve toutes les couleurs désormais !
Originaire d’Amérique, la fleur de frangipanier est elle plus grande, avec 5 pétales blancs nuancés de jaune et de rose. Tous les jardins de Polynésie, du plus modeste à ceux des grands hôtels, ont un frangipanier qui embaume tout l’espace. C’est un réel plaisir des sens !
La fleur d’hibiscus peut être de toutes les couleurs : rouge, jaune, blanche, orange, violette, rose, etc… Elle est très souvent représentée sur les pareu, ces rectangles de tissu imprimé orné de motifs locaux que les tahitiennes mettent pendant la journée (et que nous mettons souvent sur la plage). Le pareu tahitien traditionnel est rouge et blanc mais on trouve toutes les couleurs désormais !
Apres les volcans de Nouvewlle-Zelande, nous continuons notre thematique sur les volcans.
La Polynésie française n’est qu’une partie de la Polynésie, région de l’océan pacifique qui signifie « plusieurs îles » et qui forme un triangle allant de la Nouvelle-Zélande à Hawaï à l’Ile de Pâques. Toutes ces îles ont le point commun d’être le fruit d’éruptions volcaniques.
Néanmoins la Polynésie française (composée des archipels de la Société, des Tuamotu, des Marquises et des îles australes soit 118 îles) a une particularité géographique propre : ces îles volcaniques peuvent être entourées de lagons ou bien former des atolls.
Néanmoins la Polynésie française (composée des archipels de la Société, des Tuamotu, des Marquises et des îles australes soit 118 îles) a une particularité géographique propre : ces îles volcaniques peuvent être entourées de lagons ou bien former des atolls.
Certaines îles comme Tahiti ou Bora-Bora (où nous sommes allés) sont constituées d’un volcan dont le cône très étendu s’étale en pente douce jusqu’à l’océan. Ce sont des « îles hautes ». Elles possèdent généralement un lagon, cet espace d’eau marine situé entre le récif barrière corallien (appelé « motu ») et le littoral. Grâce au soleil et au fond marin composé de sable blanc, les couleurs du lagon sont magnifiques allant du bleu turquoise au vert d’eau. Les motu sont eux généralement des îlots ou une sorte de « ceinture » entourant l’île volcanique, composés de cocotiers et de buissons.
D’autres îles comme celles de l’archipel du Tuamotu (où nous n’avons pas pu aller faute de temps) n’ont plus d’édifice volcanique. Il s’est progressivement affaissé à cause de sa masse. Il ne reste plus que « l’atoll », cet anneau de corail qui entourait l’île volcanique et qui enserre désormais un espace marin clos. Ce sont des « îles basses » qui nous montrent comment la mer gagne petit à petit du terrain sur les terres. Seul le récif corallien, plus léger et qui connaît une croissance (cf l’article sur la barrière de corail), défie le temps… à condition que l’Homme ne le détruise pas en polluant la planète et en renforçant le réchauffement climatique.
Nous sommes arrivés depuis quelques jours en Polynésie Française, et plus exactement à Tahiti. Cet ensemble d'îles est un des endroits paradisiaques et il se trouve à des milliers de kiloimètres de la France, en plein océan Pacifique.
